Moto Guzzi V11 Nero Corsa - Hivernale Moto Journal 2011

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8 février 2010, l'Hivernale Moto Journal dans l'Aube et en Côte d'Or
Mardi 8 février, la quatrième hivernale MJ (déjà une vieille habitude) se déroulait pour l'après-midi entre Troyes et Dijon. Du fait de ma nomination à Chaumont, cette étape était la plus près de toutes celles prévues. Le rendez-vous était cette fois chez PowerBike, 154 rue de Preize à Troyes. J'y arrive vers 14 h 30, non sans avoir galéré pour trouver de l'essence ; les indications du GPS Garmin sur les stations services sont largement fausses. Par contre je mettrais 16,8 litres de 98 pour 270 km. 6,22 aux 100 en hiver, c'est pas mal et ça fait une autonomie de 330 km. Au point de ralliement, les MJ boys sont déjà là, en force : Laurent COCHET, Stéphane COUTELLE et Bertrand THIEBAULT sont au rendez-vous avec une quarantaine de motards. Elie, qui suit toutes les étapes depuis 3 ans est aussi là et me promet de faire l'intégrale cette année, ce qu'il n'avait pas encore réussi. D'autres motards, comme lui, font toute la virée dont un jeune sur une R1 avec remorque monoroue de Seine Maritime. Le temps est bas. Brouillard ou pluie fine, 8 à 9 degrés, c'est assez doux mais les routes sont très grasses avec des sorties de champs particulièrement soignées où l'adhérence est précaire. La plupart des motos sont déjà recouvertes de boue avant même le départ. Quelques gâteaux et boissons sont proposés par Powerbike de même qu'un café qui nous réchauffera. Une belle pistarde KAWA est exposée qui a du faire les 24 heures du Mans, de même que les joyaux des deux marques principales représentées : Triumph et Kawasaki. Peu d'occases en dehors de ces deux marques. Nous nous élançons vers 15 h 15 pour un roulage d'abord sur la rocade de Troyes, fort encombrée et pourvue de nombreux ronds-points ; quelques collèges se dévouent pour indiquer les changements de direction ou pour faire la circulation à certains ronds points : merci à eux. Cette circulation est dense jusqu'à Bar sur Seine où nous prenons la direction de Polisy afin de nous échapper sur de belles petites routes de campagnes, vallonées et bien revêtues avec quelques belles enfilades de virages. Le paysage est malheureusement assombri par un temps qui ne se lève pas : pas le moindre rayon de soleil, mais bruine et nuages sur tout le parcours quand nous ne tombons pas dans un brouillard épais, limite à couper au couteau. Quelques séances photos plus tard, nous arriverons à Tonnerre sur le coup des 17 heures et, comme d'autres avant moi, j'abandonnerai la randonnée pour revenir sur Chaumont avant la nuit si possible. J'y arriverais vers 18 h 15, ce qui est raisonnable mais malgré tout un peu risqué compte tenu des conditions de roulages défavorables. Ainsi s'achève, après 299 km ma 3ème participation sur 4 hivernales, et je ressens déjà un goût de trop peu tant il faisait bon rouler cet après-midi pluvieux mais doux. Rien ne vaut l'hiver pour profiter de la moto : pas trop de monde, pas de soleil dans les yeux. Seul bémol, malgré le changement de l'embrayage la semaine dernière par Idée à Dijon, celui-ci fait encore des siennes et à tendance à embrayer tout seul lorsque je tire le levier ; ça empêche les vitesses de passer au point mort et c'est très pénible. Mon parcours ci-contre.	Agrandir le plan

8 février 2010, l'Hivernale Moto Journal dans l'Aube et en Côte d'Or

Mardi 8 février, la quatrième hivernale MJ (déjà une vieille habitude) se déroulait pour l'après-midi entre Troyes et Dijon. Du fait de ma nomination à Chaumont, cette étape était la plus près de toutes celles prévues.

Le rendez-vous était cette fois chez PowerBike, 154 rue de Preize à Troyes. J'y arrive vers 14 h 30, non sans avoir galéré pour trouver de l'essence ; les indications du GPS Garmin sur les stations services sont largement fausses. Par contre je mettrais 16,8 litres de 98 pour 270 km. 6,22 aux 100 en hiver, c'est pas mal et ça fait une autonomie de 330 km. Au point de ralliement, les MJ boys sont déjà là, en force : Laurent COCHET, Stéphane COUTELLE et Bertrand THIEBAULT sont au rendez-vous avec une quarantaine de motards. Elie, qui suit toutes les étapes depuis 3 ans est aussi là et me promet de faire l'intégrale cette année, ce qu'il n'avait pas encore réussi. D'autres motards, comme lui, font toute la virée dont un jeune sur une R1 avec remorque monoroue de Seine Maritime.

Le temps est bas. Brouillard ou pluie fine, 8 à 9 degrés, c'est assez doux mais les routes sont très grasses avec des sorties de champs particulièrement soignées où l'adhérence est précaire. La plupart des motos sont déjà recouvertes de boue avant même le départ. Quelques gâteaux et boissons sont proposés par Powerbike de même qu'un café qui nous réchauffera. Une belle pistarde KAWA est exposée qui a du faire les 24 heures du Mans, de même que les joyaux des deux marques principales représentées : Triumph et Kawasaki. Peu d'occases en dehors de ces deux marques.

Nous nous élançons vers 15 h 15 pour un roulage d'abord sur la rocade de Troyes, fort encombrée et pourvue de nombreux ronds-points ; quelques collèges se dévouent pour indiquer les changements de direction ou pour faire la circulation à certains ronds points : merci à eux. Cette circulation est dense jusqu'à Bar sur Seine où nous prenons la direction de Polisy afin de nous échapper sur de belles petites routes de campagnes, vallonées et bien revêtues avec quelques belles enfilades de virages. Le paysage est malheureusement assombri par un temps qui ne se lève pas : pas le moindre rayon de soleil, mais bruine et nuages sur tout le parcours quand nous ne tombons pas dans un brouillard épais, limite à couper au couteau.

Quelques séances photos plus tard, nous arriverons à Tonnerre sur le coup des 17 heures et, comme d'autres avant moi, j'abandonnerai la randonnée pour revenir sur Chaumont avant la nuit si possible. J'y arriverais vers 18 h 15, ce qui est raisonnable mais malgré tout un peu risqué compte tenu des conditions de roulages défavorables. Ainsi s'achève, après 299 km ma 3ème participation sur 4 hivernales, et je ressens déjà un goût de trop peu tant il faisait bon rouler cet après-midi pluvieux mais doux. Rien ne vaut l'hiver pour profiter de la moto : pas trop de monde, pas de soleil dans les yeux. Seul bémol, malgré le changement de l'embrayage la semaine dernière par Idée à Dijon, celui-ci fait encore des siennes et à tendance à embrayer tout seul lorsque je tire le levier ; ça empêche les vitesses de passer au point mort et c'est très pénible.

Mon parcours ci-contre.

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